vendredi 17 janvier 2014

COMMENT ET POURQUOI LE SOUVERAIN MAROCAIN PRÉCONISE LE DÉPASSEMENT DE L’ETAT DE STRESS POST-ESSAI DE JUDAISATION D’AL QODS SHARIF ?



L’APPEL DU ROI DU MAROC EN COMITÉ AL QODS A MARRAKECH, POUR UNE INITIATIVE-CADRE INÉDITE  D’ENCOURAGEMENT DE LA OUMMA ARABO-ISLAMIQUE, LE VATICAN ET LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE A AVOIR UNE VISION INNOVANTE SUR LE FUTUR D’AL QODS SHARIF !

       L’arme non secrète marocaine est la mobilisation tout azimut pour pénétrer les consciences des peuples du monde a propos d’Al Qods Sharif, vu que la diplomatie seule ne suffit plus à lever les fonds nécessaires pour faire face au manque criard des donateurs. En somme un acte effectué avec détermination à la séance inaugurale de la vingtième réunion du Comité Al Qods sous la présidence effective du souverain marocain en présence d’Abou Mazine Mahmoud Abbas président de l’Etat de Palestine. Et ce, en lien avec les différentes tentatives de judaisation d’Al Qods Sharif et autres essais de colonisation des territoires palestiniens. A cet égard, c’est une surveillance-vigilance de la majoration des risques des séquelles psychologiques des habitants d’Al Qods  « maqdissiyines »(Hiérosolymitains de l'Est), par l’Agence Beith Mall Al Qods.  En insistant sur les modalités d'évaluation de l’intérêt de leur stabilité sur les lieux par des suivis de plus en plus harmonisés pluridisciplinaires pour les cinq prochaines années en leur faveur. N’est-ce pas qu’il s’agisse d’une forme d’engagement et traitement a point nommé savamment ciblé, et indivisible par l’effectivité des actions? En l'occurrence, dépassant les stagnations par la levée d’obstacles qui constituent le véritable réservoir de l’extrémisme à tout vent, loin de l'usage du blabla des manutentionnaires des chambres noires de certains chefs d’Etats ?

       Voilà pourquoi de fait, l’intervention-discours inaugural du souverain diminuera les risques d’évolution vers les choix hégémoniques pré-consentis par l’Etat hébreux. Qu’au demeurant il s’en dit le même jour de cette rencontre à Marrakech, être contrarié par les positionnements des chancelleries européennes. Au point d’en arriver à convoquer les ambassadeurs pour diversion, leur reprochant une soi-disant partialité pro-palestinienne et qui ne date pas de ce jour. Ces signes montrent qu’Israël n’est pas du tout constant, d’où la place prépondérante qu’occupe son agitation en particulier ces tentatives répétitives de colonisation faisant fi du droit international. Parfois c’est avec une aiguë propension même sans discrétion, si ce n’est carrément systématisation d’occupation des terres surprenant la communauté internationale. Cependant, dans son discours le Roi du Maroc a montré en clair que ce ne sont pas seulement ces raisons qui suscitent l’ensemble des mesures annoncées pour contrecarrer la méta-arrogance produite par les mécanismes du mal habitant les sionistes. Mais aussi, pour informer la Oumma arabo-islamique sur le rôle potentiel référentiel et à chaque fois circonstancié, que joue le Maroc dans la sensibilisation du Vatican l’ONU et le monde contre les attitudes schizophrènes d’Israël à l’encontre du patrimoine matériel et immatériel des maqdissiyines.

       D’ailleurs à en voir que parmi les dossiers sélectionnés par la commission d’experts récompensant la ténacité du souverain marocain de suivre près les programmations sur le terrain, il en existe des projets innovants dans leur contribution à l’amélioration de la situation devenue difficilement supportable voire insoutenable. Dès lors que le Maroc s’investit usant d’actions civiles à plus de 80% dans leur financiarisation et donc réalisation, à l’exemple d’écoles et complexes socio-éducatifs et sportifs. Par opposition aux essais de surenchères machiavéliques, lugubres, zéro-dépendants et bassement désolants de l’Algérie officielle en connivence avec les frères musulmans du temps de Morsi et son pré-carré de proches de surcroît usurpateurs. De sorte qu’en ce temps là, à quel point furent inconscients certains pasticheurs ayant provoqué le tollé au sein de toutes les couches sociales marocaines du fait de leur mutisme et encaissement à propos de la sortie médiatique d’Alariyane. Mais la question qu’on est en droit de se poser, est-ce que ces groupuscules en dormance parmi nous, en utilisant seulement le contrebalancement obscurcissant au moyen de se couper de la réalité, n’ont fait que le peuple marocain découvre par hasard leur interdépendance dans la gouvernance vis-à-vis d’Alariyane and Co ?

       N’est-ce pas que, c’est maintenant de l’avis de nombreux analystes et observateurs politiques, la modification de fond en comble de l’approche et l’esprit au plus haut sommet de l’Etat de faire face à ces contrebalancements où ils se trouvent ? Assez donc d'affecter dévotion et vertu prenant des airs (Tbouhit) au parlement et ailleurs, mettant les petites gens en émoi, parfois seulement pour diversion ! Surtout pour s’en enorgueillir plus tard de soi-disant gloire, au point d’en user de technique de brouillage des messages lors des émissions de télévision. Ce n’est nullement la bonne approche pour s’octroyer une notoriété dans la structure de l’Etat marocain et de sembler poser pour la postérité. N’est-ce pas qu’inconfortable est déjà ce genre de réputation de certains de nos politiques, que de crise en crise provoquée par eux, on pourrait les inviter à participer à l'académie des néophytes en politique ? Parce que présentant même deux ans après une attitude incompréhensible, attirant vers eux l’éclairage terne de la lampe à huile qui ne correspond plus à la véritable vocation des hommes d’Etats par les temps qui courent, dont malheureusement certains ne voulant que se pavaner marchant avec fatuité (Tbourida) dans les arcanes du pouvoir. D’autant plus allant dans la ligne de certains de leurs proches collaborateurs zélés, qualifiant les rassemblements de foule, de la société civile, des diplômés chômeurs, des corporatismes socioprofessionnels, des syndicats et monde des arts, sortes de danses en pas inégaux décriant sans fondement le gouvernement. Alors qu’ils n’ont eux-mêmes jamais cessé de développer la théâtralité dans leur propos, rentrant dans la peau d’amuseurs paraissant victimes par l’inversion des rôles. Ce que l’on ne cesse de constater en direct chez beaucoup de coquilles vides dans des émissions télévisées, alors qu’ils donnaient l’impression de dominer le champ politique marocain.

       Qu’y a-t-il en ce sens de plus absurde chez les coalisés gouvernementaux de circonstance conjoncturelle, que l’essai d’envoyer aux calendes grecques l’effectivité de l’esprit de la constitution du 01 Juillet 2011 sur le plan de la démocratie participative interne ? Tandis que les marocains aspirent à une gouvernance probe s’attaquant aux vrais chantiers socio-économiques et politiques structuraux, et non aux relents discourant discordants éphémères, dont une bonne partie ne saurait être saisi correctement et à bon escient par tout un chacun. En plus, en continuant de mobiliser par des plages séquentielles inertes d’un travail seulement de l’enfumage, sans tenir compte des tendances de l’économie réelle du pays constamment en diminution de rendement. Aussi, pour les historiens, bien sur, les témoignages obtenus ici et là, constituent des documents de première importance sur la vie politique publique au quotidien, à même d’en facilement comprendre pourquoi aux manifestations revendicatives on ne cesse de leur répondre à cris soutenus DÉGAGER !


       C’est vrai que cela aidera à la clarification des positionnements du Maroc afin de soutenir l’évolution des tractations voulues par le président Obama et menées sous la houlette de John Kerry. Lesquelles se fondant sur des critères précis d’engagement commun des palestiniens et israéliens, de par leur pertinence thématique répétitive et méthodologie de mise en effectivité. Et ce, malgré la sortie tonitruente du ministre de la défense de l’Etat hébreux, qualifiant le secrétaire d’Etat au foreign office américain de messianique ne comprenant rien au conflit. Parce que dans ce cas, très vite on ordonne la chasse aux scènes de colonisation et judaisation des territoires occupés, plus vite le modèle relationnel que préconise Obama prendra forme exigeant de la communauté internationale mobilité en faveur de la constitution de deux Etats, l’un pour les palestiniens sur la base des frontières de 1967 en écoutant leurs souffrances, l’autre pour la sécurité d’Israël dans ce Moyen Orient désormais en remue-ménage politique sans cesse. Finalement le Maroc au plus haut sommet de l’Etat est dans l’ambition d’apporter son concours, par ses positionnements responsables sérieux montrant exigence solennelle. Contrairement à d’autres montrant agitation d’intérêt politicien à tire larigot, ne faisant que scander des propos sans valeur ajoutée. Surtout de la façon dont les marocains en ont assez d’en suivre le déroulement sous des cieux non envieux.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire