L’APPEL DU ROI DU MAROC EN COMITÉ AL QODS A MARRAKECH, POUR UNE INITIATIVE-CADRE INÉDITE D’ENCOURAGEMENT DE LA OUMMA ARABO-ISLAMIQUE, LE VATICAN ET LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE A AVOIR UNE VISION INNOVANTE SUR LE FUTUR D’AL QODS SHARIF !
L’arme non secrète marocaine est la mobilisation tout azimut pour pénétrer les consciences des peuples du monde a propos
d’Al Qods Sharif, vu que la diplomatie seule ne suffit plus à lever les fonds
nécessaires pour faire face au manque criard des donateurs. En somme un acte effectué avec détermination à la séance inaugurale de la vingtième réunion du Comité Al Qods sous la présidence effective du souverain marocain en présence d’Abou Mazine Mahmoud Abbas président de l’Etat
de Palestine. Et ce, en lien avec les différentes tentatives de judaisation
d’Al Qods Sharif et autres essais de colonisation des territoires palestiniens.
A cet égard, c’est une surveillance-vigilance de la majoration des risques des
séquelles psychologiques des habitants d’Al Qods « maqdissiyines »(Hiérosolymitains de l'Est), par l’Agence
Beith Mall Al Qods. En insistant sur les
modalités d'évaluation de l’intérêt de leur stabilité sur les lieux par des suivis
de plus en plus harmonisés pluridisciplinaires pour les cinq prochaines années en leur faveur. N’est-ce pas
qu’il s’agisse d’une forme d’engagement et traitement a point nommé savamment ciblé, et
indivisible par l’effectivité des actions? En l'occurrence, dépassant les stagnations par
la levée d’obstacles qui constituent le véritable réservoir de l’extrémisme à tout vent, loin de l'usage du blabla des manutentionnaires des chambres noires de certains chefs d’Etats ?
Voilà pourquoi
de fait, l’intervention-discours inaugural du souverain diminuera les risques
d’évolution vers les choix hégémoniques pré-consentis par l’Etat hébreux. Qu’au
demeurant il s’en dit le même jour de cette rencontre à Marrakech, être contrarié
par les positionnements des chancelleries européennes. Au point d’en arriver à
convoquer les ambassadeurs pour diversion, leur reprochant une soi-disant
partialité pro-palestinienne et qui ne date pas de ce jour. Ces signes montrent
qu’Israël n’est pas du tout constant, d’où la place prépondérante qu’occupe son
agitation en particulier ces tentatives répétitives de colonisation faisant fi
du droit international. Parfois c’est avec une aiguë propension même sans
discrétion, si ce n’est carrément systématisation d’occupation des terres
surprenant la communauté internationale. Cependant, dans son discours le Roi du
Maroc a montré en clair que ce ne sont pas seulement ces raisons qui suscitent
l’ensemble des mesures annoncées pour contrecarrer la méta-arrogance produite
par les mécanismes du mal habitant les sionistes. Mais aussi, pour informer
la Oumma arabo-islamique sur le rôle potentiel référentiel et à chaque fois circonstancié, que joue le Maroc dans la sensibilisation du Vatican l’ONU et le
monde contre les attitudes schizophrènes d’Israël à l’encontre du patrimoine matériel et immatériel des maqdissiyines.
D’ailleurs à en
voir que parmi les dossiers sélectionnés par la commission d’experts récompensant la ténacité du souverain marocain de suivre près les programmations sur le terrain, il en existe des projets innovants dans leur
contribution à l’amélioration de la situation devenue difficilement supportable
voire insoutenable. Dès lors que le Maroc s’investit usant d’actions civiles à
plus de 80% dans leur financiarisation et donc réalisation, à l’exemple d’écoles
et complexes socio-éducatifs et sportifs. Par opposition aux essais de
surenchères machiavéliques, lugubres, zéro-dépendants et bassement désolants de
l’Algérie officielle en connivence avec les frères musulmans du temps de Morsi
et son pré-carré de proches de surcroît usurpateurs. De sorte qu’en ce temps là,
à quel point furent inconscients certains pasticheurs ayant provoqué le tollé
au sein de toutes les couches sociales marocaines du fait de leur mutisme et
encaissement à propos de la sortie médiatique d’Alariyane. Mais la question qu’on
est en droit de se poser, est-ce que ces groupuscules en dormance parmi nous,
en utilisant seulement le contrebalancement obscurcissant au moyen de se
couper de la réalité, n’ont fait que le peuple marocain découvre par hasard leur
interdépendance dans la gouvernance vis-à-vis d’Alariyane and Co ?
N’est-ce pas que,
c’est maintenant de l’avis de nombreux analystes et observateurs politiques, la
modification de fond en comble de l’approche et l’esprit au plus haut sommet de
l’Etat de faire face à ces contrebalancements où ils se trouvent ? Assez
donc d'affecter dévotion et vertu prenant des airs (Tbouhit) au parlement et ailleurs, mettant les petites gens en émoi,
parfois seulement pour diversion ! Surtout pour s’en enorgueillir plus tard
de soi-disant gloire, au point d’en user de technique de brouillage des
messages lors des émissions de télévision. Ce n’est nullement la bonne approche
pour s’octroyer une notoriété dans la structure de l’Etat marocain et de sembler
poser pour la postérité. N’est-ce pas qu’inconfortable est déjà ce genre de réputation
de certains de nos politiques, que de crise en crise provoquée par eux, on
pourrait les inviter à participer à l'académie des néophytes en politique ?
Parce que présentant même deux ans après une attitude incompréhensible,
attirant vers eux l’éclairage terne de la lampe à huile qui ne correspond plus
à la véritable vocation des hommes d’Etats par les temps qui courent, dont malheureusement
certains ne voulant que se pavaner marchant avec fatuité (Tbourida) dans les arcanes du pouvoir. D’autant plus
allant dans la ligne de certains de leurs proches collaborateurs zélés,
qualifiant les rassemblements de foule, de la société civile, des diplômés chômeurs, des corporatismes socioprofessionnels, des syndicats et monde des
arts, sortes de danses en pas inégaux décriant sans fondement le gouvernement.
Alors qu’ils n’ont eux-mêmes jamais cessé de développer la théâtralité dans
leur propos, rentrant dans la peau d’amuseurs paraissant victimes par l’inversion
des rôles. Ce que l’on ne cesse de constater en direct chez beaucoup de
coquilles vides dans des émissions télévisées, alors qu’ils donnaient l’impression
de dominer le champ politique marocain.
Qu’y a-t-il en
ce sens de plus absurde chez les coalisés gouvernementaux de circonstance
conjoncturelle, que l’essai d’envoyer aux calendes grecques l’effectivité de l’esprit
de la constitution du 01 Juillet 2011 sur le plan de la démocratie participative
interne ? Tandis que les marocains aspirent à une gouvernance probe s’attaquant
aux vrais chantiers socio-économiques et politiques structuraux, et non aux relents discourant discordants éphémères, dont une bonne partie ne saurait être saisi correctement
et à bon escient par tout un chacun. En plus, en continuant de mobiliser par des
plages séquentielles inertes d’un travail seulement de l’enfumage, sans tenir
compte des tendances de l’économie réelle du pays constamment en diminution de
rendement. Aussi, pour les historiens, bien sur, les témoignages obtenus ici et
là, constituent des documents de première importance sur la vie politique
publique au quotidien, à même d’en facilement comprendre pourquoi aux
manifestations revendicatives on ne cesse de leur répondre à cris soutenus DÉGAGER !
C’est vrai que
cela aidera à la clarification des positionnements du Maroc afin de soutenir
l’évolution des tractations voulues par le président Obama et menées sous la
houlette de John Kerry. Lesquelles se fondant sur des critères précis d’engagement
commun des palestiniens et israéliens, de par leur pertinence thématique répétitive et méthodologie de mise en effectivité. Et ce, malgré la sortie tonitruente du
ministre de la défense de l’Etat hébreux, qualifiant le secrétaire d’Etat au foreign office américain de messianique ne comprenant rien au conflit. Parce que
dans ce cas, très vite on ordonne la chasse aux scènes de colonisation et
judaisation des territoires occupés, plus vite le modèle relationnel que
préconise Obama prendra forme exigeant de la communauté internationale mobilité
en faveur de la constitution de deux Etats, l’un pour les palestiniens sur la
base des frontières de 1967 en écoutant leurs souffrances, l’autre pour la
sécurité d’Israël dans ce Moyen Orient désormais en remue-ménage politique sans
cesse. Finalement le Maroc au plus haut sommet de l’Etat est dans l’ambition d’apporter
son concours, par ses positionnements responsables sérieux montrant exigence solennelle. Contrairement à d’autres montrant agitation d’intérêt politicien à
tire larigot, ne faisant que scander des propos sans valeur ajoutée. Surtout de
la façon dont les marocains en ont assez d’en suivre le déroulement sous des
cieux non envieux.
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