lundi 22 avril 2013

IL EST TEMPS DE CHANGER DE BRAQUET PAR UNE NOUVELLE OFFENSIVE DIPLOMATIQUE, PAR AILLEURS NE POUVANT MENER QU’A UNE BONNE GOUVERNANCE SOCIO-ECONOMICO-POLITIQUE!


   
    Désormais, on peut confirmer sans hésitation que le ridicule se cultive facilement à coup de trous de mémoire. Car aux dernières distillations informatives peut être de rattrapage, si ce n’est seulement équilibriste entre choix manichéens, les USA démontrent enfin leur spécificité de bascule dans le déni selon les circonstances sur la scène diplomatique onusienne. 

C’est incroyable le positionnement protéiforme d'allégeance de certains érudits marocains aux USA ! Parce qu'apparemment ils se rendent corps et âme eux aussi, à la soi-disant évaluation de l'autre face volte-face des USA partant à l’assaut du mensonge-marchant du pouvoir militaire algérien. Ainsi, il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas dans cette affaire, cœur d’un désir de perturbation du Maroc au nom des liens économiques à coup de petro-dinars avec l’Algérie.

Comme quoi, aucun pays n’est au dessus des soupçons, surtout quand il est armé d’un fouet-éventail pour cacher son regard porteur de force malveillante à l'égard d'un pays ami. N’est-ce pas qu'il s'agit d’un nouveau concept obamien d’estimation-minute, combiné hélas d’évaluation instantanée suzannienne diplomatiquement tirée par les cheveux, mais élaboré primairement volontairement par l’administration kerryeenne? 


S'agit-il d'essai d'intégration d'un système frein à la complémentarité diplomatique, de surcroit n'imaginant aucune flexibilité responsable et honorable pour les protagonistes au sein du Conseil de Sécurité?

   
   Aux dernières rumeurs, on n’est plus dans le dénigrement du Maroc mais dans le déchirement par grand écart à propos de la recherche de solution de fortune par les USA. Et ce, après avoir tenter  de sauver celle vraiment amassée des années durant par les généraux algériens. Donc c’est à cause de  cette onde semi-frontale d’interactivité grossière, que de vrais pays amis du Maroc se sont bougés démontrant l’écho de retour des réseaux informatifs introduits sur recommandation pour vérifier les colportassions, que les USA s’essaieraient apparemment de se racheter auprès des marocains. Mais, allaient-ils jusqu’à tancer ces machiavéliques généraux de salons, de laisser tomber leur festival anachronique de recel politique, au demeurant fait de corruption et atteinte des droits de l’homme à contre sens de l’histoire du temps présent ? Où, tout simplement ils nous la joueraient en développement de stratégie d’anticipation sur les rivalités Maroc-Algérie pour une éventuelle décrispation.  

   
   En revanche, comment et pourquoi l’Algérie ne continuerait-elle à avoir peur de l’assurance marocaine face au développement de cette activité, où, surement se rejoindraient les dimensions ethnoculturelles ne pouvant qu'aider à trouver une solution politique définitive? C’est tout l’objectif à atteindre par ce besoin de restructuration de la diplomatie marocaine qui se recherche, et aussi, de re-formation urgente d’une nouvelle équipe gouvernementale qui en soit capable d’instaurer sa détermination à la fois par la confiance et la vigilance. D'abord par une bonne hygiène informationnelle pour fédérer les forces d’interférence vu le catastrophisme annoncé à l’Est, ensuite identifier les essais des désinformations pouvant perturber les aspirations marocaines pour la bonne gouvernance et l'application des fondamentaux volet des droits de l'homme.

       Parce que sinon, il y a risque de débordement sur cette incapacité de procéder au remaniement ministériel dont tout le monde en parle. Sachant qu’il ne faut pas compter sur ce probable et éventuel répit dans ce bras de fer avec les USA, même si, parallèlement les pays dits amis ne se taisent plus. Mais comment faire sans continuer à violer la constitution ? En cela, ne faut-il pas faire accepter à tout le monde, majorité et opposition un PCME Programme Commun Minimum d’Entente pour faire face à cette situation complexe et retrouver un sens national sans colère ni révolte comme ce qu'on a vu en direct à la chambre des députés. A vrai dire c’est la seule alternative pour ne pas s’enfermer davantage dans le ghetto des propos irresponsables entre composantes du parlement et aussi de la société marocaine. 

    
   Pourtant, il y a longtemps que beaucoup de personnes sensées n’ont cessé de tirer la sonnette d’alarme à propos de cette coalition gouvernementale à l’emporte pièces. N’ayant fait que perdre du temps au pays, le mettant en mauvaise posture pour pouvoir sortir de ce traquenard onusien sans casse, en plus d'une situation économique dangereuse guettant le pays. D’abord, pourquoi ces retards non compréhensifs de mise en place effective de la constitution et surtout les tergiversations pour avancer dans le chantier de reforme de la justice et de la régionalisation avancée en commençant par l'autonomie des territoires du Sahara? Puis, était-ce nécessaire ces traitements abusifs violents, parfois à connotation répressive sur l'ensemble du territoire national, surtout à l'égard des marches et revendications sociales légitimes ne les méritant pas? Certainement c’est ce qui a donné aux ennemis de quoi nous montrer du doigt, de surcroît aidés par la kyrielle de nonistes et autres vendeurs de leurs âmes à l’étranger. Mais, pourquoi la coalition gouvernementale ne parvient-elle pas à se surpasser, faisant celle qui s’était rendue ultimement étrangère à ce tintamarre? N'est-ce pas qu'elle vit un cauchemar à l'état de veille, dont elle n'a pu avoir d’éclaircissement sur les motifs et mobiles à propos du service après vente que l'ONU se préparait à effectuer éventuellement le cas échéant ?   

    
   C’est vrai qu’il y a une polémique anti-administration Obama qui monte,  vu les profiles impressionnants des chasseurs de prime outre atlantique, aidés par les anglais et les pays nordiques. Malheureusement, pour les contrer du coté national des expressionnistes prêchant dans le désert continuent à se voir fonctionnellement utiles partout, sans en être compatibles entre eux ni comptables de leurs disettes. Aussi cette fonctionnarisation-fiction pour mettre le génie marocain en action, nécessite pragmatisme et non désinvolture. Parce qu’au lieu de chercher une sortie par la mise de la flexibilité respectable honorable pour tout le monde, ils ne font que se rendre ridicules dans les propos et dans le défrichement du parcours truffé de trous inconnus. 

       Les cris stridents en même temps salvateurs au parlement, lancés par certains politicards en herbe sans cesse confronté à leur dilemme d’incompréhension, ne se sont-ils pas déchirés devant le tournage du film d'actualité du jour. Cette sorte d'Académia-Orchestra-Sahara n'ayant reflété que noirceur de l'image de la représentation nationale par les tires nourris de la passe d'armes entre USFP et PJD. D'ailleurs dans ce cas précis, pourquoi le ministre des affaires étrangères a-t-il continué à vouloir prouver son innocence de par son langage, alors qu'il devait anticiper d'entrer en contact avec ces juges auto-proclamés par la force de la charte du Conseil de Sécurité de l'ONU? En même temps, n'est-ce pas injuste de lui faire porter le chapeau de non vigilance, parce qu’autrement il ne pourra jamais trouver la paix de sa conscience? En ce sens, n'est-ce pas une responsabilité historique de l'ONU d'avoir laissé passer le Maroc pour un temps, entité négligeable dans ses rouages labyrinthiques sans fin. Qu'heureusement l'Espagne la France la Russie et la Chine, ont en montré leur désapprobation de ce procédé partial indigne ? Parce qu'on dirait, qu'on voulait que les efforts diplomatiques d'explication du Maroc restent vains, surtout ne touchant que des subalternes siégeant dans les antichambres de cette immense organisation devenue secrète.

    
   Quel dommage pour ce gouvernement ! Sa seule certitude est sa future psychologisation de n'avoir entendu aucun appel des masse-médias nationaux et étrangers à propos des rapports établis sur les droits de l'homme. Il en porte seul l'entière responsabilité de ce couac dont il faut en tirer la bonne leçon. D'autant plus n'arrivant jamais à voir la lumière d'avant son entrée à l’Exécutif, ni distinguer le moindre point brillant de sortie de sa gestion boiteuse des affaires de l’État. Ne s'agit-il pas d'une manière de jouer le ratage non interactif avec l'histoire politique du moment, avec une ligne conductrice sans conviction n'étant jamais dans l'air du temps? En plus, malheureusement sans saisir les changements qui se passaient autour, en continuant à se la jouer en ordre dispersé à ciel ouvert mettant les priorités en glaciation. A bon entendeur salut !  

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