A LIRE IMPÉRATIVEMENT CET ARTICLE OH COMBIEN PRÉMONITOIRE DATANT DU 07 DÉCEMBRE 2012 !
N’EST-CE PAS QUE LE MAROC DIPLOMATIQUE D’AVANT L’ÈRE NOUVELLE N’EST PLUS ? EN TOUT CAS IL NE DONNE PLUS L’IMPRESSION QU’IL EST A L’ÉTROIT DANS SES POSITIONNEMENTS, MAIS PLUTÔT A L’OUVRAGE OFFENSIF DÉBARRASSÉ DU VOILE DE NAÏVETÉ QU’IL A LONGTEMPS SOLENNELLEMENT PORTÉ . IL N’Y A QU’A VOIR COMMENT IL A FAIT FACE A LA POSITION DU PARLEMENT SUÉDOIS POUSSANT LE GOUVERNEMENT A ÉCLAIRCIR LA SIENNE PLUS RESPONSABLE ET COURAGEUSE.
En revanche, la photographie actuelle du
Maroc au start-up de par sa touche lors de sa présidence du conseil de sécurité pour le mois de Décembre 2012, ayant réussi et surtout imposé prioritairement une double impulsion à la
quatrième réunion des amis de la Syrie à Marrakech le 12 Décembre 2012. D’abord
en premier fortifier diplomatiquement la coalition naissante de toutes les
branches anti-régime « Attawaiifs d’Assad », pour l’obliger à
déguerpir au plus vite. Parce qu’encore l’impression que donne l’envoyé
international Ibrahimi de trouver une solution civilisée, sorte d’enfumage
diplomatique soutenu par les USA et la Russie n’est plus acceptable, comme si,
la Syrie n’est pas déjà ébranlée dans son amour propre, preuve en est le discours haineux de Bachar à l'opera de Damas. Alors qu’il faudrait ne
lui laisser aucun choix d’utiliser s’il en a vraiment l’idée, son arsenal
d’armes chimiques Sarin Tabun Ypérite Gaz moutarde et autres cochonneries
neurotoxiques de ce genre datant de la première guerre du siècle dernier contre
son peuple. Puis, secundo en coordonnant les aides humanitaires diversifiées
pour les réfugiés dans les pays limitrophes où lointains.
N’est-ce pas que le Maroc cherchant à éviter d’évoquer seulement le coté émotionnel de la crise syrienne, avait donné l’exemple par l’hôpital de campagne équipé au camp Zaatari en Jordanie, mettant en éclairage le sérieux made in Morocco dont tout le monde en parle surtout après la visite royale ? Ajouté à cela, l’engagement du Maroc du coté des africains empattés inconfortablement, par son interventionnisme humanitaire réhaussé et correct. En plus de ses initiatives satisfaisante en tant que président de la commission de suivi d’Al Qods pour atténuer leurs souffrances, notamment envers les gazaouis. Et aussi s’attelant en permanence à dénoncer les sauvageries de l’Etat hébreu, ses constructions outrancières de nouvelles colonies sans aucun respect pour la communauté internationale.
Ce
faisant, est-ce que le multilatéralisme marocain que coiffent et facilitent les
canaux diplomatiques dans tous les secteurs est à cet égard intéressant à poursuivre ?
La réponse est oui, en amont comme en
aval, car exhibe des marqueurs lui conférant de suivre les efforts de rationalité des contrats de prestation dans les
échanges respectueux de la réciprocité. Ce qui, désormais semble le différencier des concurrents, et faciliter la
traduction sur le terrain de cette conceptualisation. Par exemple, la mise en
place d’une structure d’encouragement des marocains de l’étranger pour qu’ils
n’aient plus l’air d’un troupeau grelottant dans les attentes vu la glaciation
généralisée dont souffre l’instance existante, la culture dans tous ses volets
comme lors de la semaine culturelle algérienne au Maroc, le commerce extérieur et
développement de marchés de proximité dans le respect des clauses OMC tenant
compte de la spécificité marocaine surtout pour le poisson et l’agroalimentaire,
les contrats partenariaux industriels gagnant-gagnant en aéronautique
automobiles logistique et énergies renouvelables respectant la sauvegarde
stricte de l’environnement, les accords stratégiques développés d’abord
sécuritaires puis économiques avec pays du Golf USA Espagne France pour ne pas
aggraver l’asymétrie du libre échange tout en boostant la compétitivité par l’allégement du coût de travail en mettant le cap du coté marocain sur les produits de deuxième
transformation pour le commerce courant et l’artisanat.
En plus des échanges
d’expériences Sud-Sud sur les gestions et bonne gouvernance des collectivités
territoriales comme ce que tout le monde avait vu à Dakar donnant à l’africité par le territoire
sa vraie dimension dont le Maroc en est encore la dynamo au vu des nombreux programmes
de formations ciblées académiques où professionnelles pour sortir de l’économie
bisounours d’il y a peu où seulement le rire communicatif prévalait, les grands
chantiers d’équipements en souscrivant aux normes internationales avec maîtrise des ouvertures aux marchés publics avec tous ces pays à l’exemple du TGV
Tanger-Casa avec la France et Nador West Med avec l’Espagne.
N’est-ce pas là un appel à un nouveau déterminisme
de réhabilitation du concept de la charge diplomatique, d'abord de mise en place de l'institut des hautes études stratégiques et diplomatiques, puis de facilitation de prise
de contact avec les instances financièro-monétaires, le monde des affaires et
de l’entreprise ? Qu’au demeurant doit être encouragé par la réforme de la
Moudouana du travail compatible avec les statuts de l’OIT, de sorte que la
corruption en soit bannie par la réactivité d’une lutte acharnée mais
méthodique d’une justice efficiente rapide et efficace.
Parce que, pour le gouvernement,
continuer à se lamenter sur le manque de moyens en cette période d’orthodoxie
budgétaire ne suffit pas. Il lui faut
opter pour des choix politiques habiles en vue de mener à bien les réformes
engagées, loin des récupérations des décryptages des agences de notation, fussent-elles
accompagnées d’emprunts obligataires avantageux et au long cour. Néanmoins ne faut-il pas pour la
diplomatie, afin de pouvoir affronter sur le terrain les receleurs du mensonge
d’hier d’aujourd’hui comme de demain à l’égard du Maroc, diminuer les
prestations n’apportant rien et les réorienter par ciblage prioritaire ? Où,
devra-t-elle s’essayer seulement à défendre les intérêts offensifs plus que
ceux défensifs pour se maintenir parmi les faiseurs d’opinion dans ce monde
mondialisé ?
En effet la question que tout le monde se pose, est-ce que les résistances à cette évolution sont-elles vraiment concevables, vu la nécessité de la diplomatie d’ accroître sa mobilité géostratégique en s’adaptant au monde nouveau ? Et ce, en travaillant sur le climat d’avenir et non sur le passé tenant compte des données démographiques.
Comprendra qui voudra qu’il s’agisse des pays BRIC Afrique du Sud et autres émergents ! En revanche, peut-on dire qu’actuellement le Maroc diplomatique est bel et bien entrain de marquer de son sceau son nouveau positionnement, ne se gargarisant plus de futilités sans valeur ajoutée ? A BON ENTENDEUR SALUT !
N’EST-CE PAS QUE LE MAROC DIPLOMATIQUE D’AVANT L’ÈRE NOUVELLE N’EST PLUS ? EN TOUT CAS IL NE DONNE PLUS L’IMPRESSION QU’IL EST A L’ÉTROIT DANS SES POSITIONNEMENTS, MAIS PLUTÔT A L’OUVRAGE OFFENSIF DÉBARRASSÉ DU VOILE DE NAÏVETÉ QU’IL A LONGTEMPS SOLENNELLEMENT PORTÉ . IL N’Y A QU’A VOIR COMMENT IL A FAIT FACE A LA POSITION DU PARLEMENT SUÉDOIS POUSSANT LE GOUVERNEMENT A ÉCLAIRCIR LA SIENNE PLUS RESPONSABLE ET COURAGEUSE.
C’EST
VRAI QU’IL EST BIEN FACILE DE S’ATTRIBUER UN RÔLE DE CRIEUR DÉCRIANT DES COMPORTEMENTS APRES LEURS ARRIVÉES. MAIS CONTINUER A NIER LEUR EXISTENCE NUISIBLE A L’IMAGE DU PAYS, EST
UN ENCOURAGEMENT A L’ECHANGE DIPLOMATIQUE EMPHATIQUE ÉCUMEUX.
QU’EN
REVANCHE N’AMÉLIORE EN RIEN LES EFFETS DU CHANGEMENT EN CES TEMPS DE BOUILLON
D’IDÉES APRES UNE ANNÉE DU OUI RÉFÉRENDAIRE CONJUGUÉ DE RIVALITÉS ENTRE
COMPOSANTES DE LA COALITION GOUVERNEMENTALE. PAR AILLEURS NOURRIES DE DOUTES
EXISTENTIELS PARTISANS POUVANT LA FAIRE TOMBER SANS AUCUN ESSAI DE REMANIEMENT
OU AUTRE RÉAJUSTEMENT.
Comment
et pourquoi, la diplomatie marocaine contemporaine est-elle bien notée au
tableau des balances des participations actives à l’ONU ?
L’IDÉE EST SIMPLE, C’EST QUE LE MAROC PAR SA DIPLOMATIE MÊME PARALLÈLE, DOIT ACCÉLÉRER L’OCCUPATION DU TERRAIN TOUT AZIMUT, EN MONTRANT EXPLIQUANT ET VALORISANT LES
EFFORTS DE RATIONALITÉ DES PRESTATIONS CONSENTIES DANS LES DROITS DE L’HOMME. AFIN
D’AVOIR UNE PART RÉELLE DE CE MARCHE QU’IL MÉRITE OBJECTIVEMENT AMPLEMENT, NOTAMMENT VIA DES NOMINATIONS DE COMPÉTENCES ET RIEN D'AUTRE. ET CE, POUR LE CHANGEMENT COMPORTEMENTAL PROBE, EN USANT DES GAGES PALPABLES BANNISSANT DE FAIT LES PRATIQUES AMALGAMÉES D’ANTAN DE CERTAINS CABINETS MINISTÉRIELS, AMBASSADES, CONSULATS ET AUTRES
MISSIONS OFFICIELLES.
IL
FAUT SAVOIR AUSSI QUE LA MEDIAGENIE ANTI-MAROC EN SERVICE COMMANDÉ, NE COLPORTE QUE PIPEAU CAR S’APPUYANT SUBJECTIVEMENT SEULEMENT
SUR LE FIL D’ACTUALITÉS DES PRATIQUES D’UN TEMPS RÉVOLU. AUSSI, ELLE NE FAIT QUE SUIVRE MACHINALEMENT LE DÉSIR DE RANCŒUR DE CERTAINS PAYS SURTOUT DE LA RÉGION SANS
RIEN VOIR DU CHANGEMENT DU PAYSAGE POLITIQUE MAROCAIN.
EN L’OCCURRENCE, ELLE OUBLIE LES MUSELIÈRES VOIRE LES BRIDES QUE SES COMMANDITAIRES SE VOULANT DE NOTORIÉTÉ, LAISSENT ENCORE SUR LE COU DE LEURS POPULATIONS RESPECTIVES. QU’EN FAIT TOUS MONTRENT LEUR VRAIES RAISONS D’ETRE, DONT LES MOUVEMENTS DU PRINTEMPS ARABO-AMAZIGH AVAIENT DÉJÀ IMPITOYABLEMENT DÉNONCÉ LEURS POSITIONNEMENTS.
EN L’OCCURRENCE, ELLE OUBLIE LES MUSELIÈRES VOIRE LES BRIDES QUE SES COMMANDITAIRES SE VOULANT DE NOTORIÉTÉ, LAISSENT ENCORE SUR LE COU DE LEURS POPULATIONS RESPECTIVES. QU’EN FAIT TOUS MONTRENT LEUR VRAIES RAISONS D’ETRE, DONT LES MOUVEMENTS DU PRINTEMPS ARABO-AMAZIGH AVAIENT DÉJÀ IMPITOYABLEMENT DÉNONCÉ LEURS POSITIONNEMENTS.
A
CET EFFET, COMMENT FAIRE POUR ECHAPER A CES INVECTIVES PARFOIS ÉDULCORÉES POUR TROMPER, QUE
PRODUISENT CES OBJECTEURS DE CONSCIENCES VIA CETTE MEDIAGENIE.? NE SE SAUVEGARDANT
EUX-MÊMES, RIEN QUE PAR LEUR ARGENT DISTRIBUÉ SANS TÉMOIN. C’EST METTRE LE
PAQUET INFORMATIF ET INFORMATIONNEL SUR LES ELÉMENTS DE TRANSFORMATION PROGRESSIVE
QUE CONNAIT LE MAROC DEPUIS L’AVÈNEMENT DU RÈGNE MOHAMED VI.
N’EST-CE
PAS QUE C’EST UNE ANTICIPATION AMORCÉE PAR LE TRAVAIL ENVIABLE DE L’IER, QU’AU FINAL ELLE A ALLÉGÉ LE COÛT POLITIQUE DES ANNÉES DE PLOMB? TRAÇANT UN NOUVEAU CAP OU LA VISIBILITÉ ET LES MESURES D’ACCOMPAGNEMENT SONT DE MISE, SURTOUT INTÉGRANT LES EXIGENCES SOCIALES ET ENVIRONNEMENTALES POUR LA SOLIDITÉ DE L’IMAGE
ACTUELLE DU PAYS EN TANT QU’HUB VERS L’AFRIQUE EN PLEINE CROISSANCE ECONOMIQUE.
MAIS
ATTENTION, CETTE APPROCHE DE L’IER N’A PAS RÉAJUSTÉ L’ONDE DE LA PANNE AU
MAGHREB DONT IL FAUDRAIT A TOUT PRIX MODULER LA FRÉQUENCE. CAR TOUT LE MONDE S’EN ÉMEUT POUR CAUSE DE RÉCIPROCITÉ DE NAÏVETÉ DANS L’APPLICATION AFFECTIVE DES ACCORDS BILATÉRAUX PARTENARIAUX. SAUF QU’A VALEUR D’AUJOURD’HUI SI L’ON SE FIE AUX DÉCLARATIONS DES OFFICIELS MAGHRÉBINS APPAREMMENT ON EST EN PLEIN ARRANGEMENT. MÊME SI, LES MAROCAINS AVEC RAISON ET PLAISIR VOUDRAIENT QUE ÇA AILLE PLUS
VITE, CONTRAIREMENT A LA DÉRAISON VOIRE MÉFIANCE DU POUVOIR ALGÉRIEN NE VOULANT
PAS OUVRIR PAR VANITÉ LES FRONTIÈRES.
Depuis le déclenchement artificiel de
l’affaire du Sahara par le positionnement algérien anti Maroc, par ailleurs
distillé auparavant à la réunion tripartite d’Ifrane au début des années
soixante dix du siècle passé par l’ambiguïté du langage du président Boumediane
et de son ministre d’alors des affaires extérieures Bouteflika, en plus du
moulage emphatique protéiforme du président mauritanien Ould Dadda, la
diplomatie marocaine n’a cessé de s’accomplir par des offres généreuses à ces
protagonistes faisant fi de leurs sournoiseries et outrances. Mais, c’était
plus que le Maroc ne pouvait supporter, surtout après l’entrée de Kadhafi en
ligne par la soudaine violence et la création du front du refus par l’enfant de
l’UNEM El Ouali et ses acolytes n’ayant pas trouvé écho chez
« zabanyat » Oufkir.
SUR
CETTE INJONCTION, LE MAROC EST-IL EN POSSESSION DE TOUS SES OUTILS DE RÉGLAGE DE SON ARSENAL POLITICO DIPLOMATIQUE ? IL FAUT CROIRE QUE OUI, VU SA VOLONTÉ D’ALLER DE L’AVANT QU'IL A MONTRÉ, DÛMENT ACCOMPAGNÉ DE SA BONNE ETOILE DU CALENDRIER
ONUSIEN ACTUEL.
N’est-ce pas que Hassan II par sa
résistance et son audace, ayant auparavant souffert de loyauté de dévouement, avait
pensé mûrement dans le plus grand secret ce qui est devenu merveilleusement la
marche verte, et dont beaucoup de ses plus proches collaborateurs n’en savaient
rien ? Un coup de maître qui avait fortement impressionné les rêveurs d’un
Maroc disloqué, et à qui, il avait fermé le couloir pour toute autre folie où
mésaventure. Comme celle à résonance de mouvance des juntes ayant pris le
pouvoir à feu et à sang ici et là dans le monde arabo islamique et en Amérique
latine. A cet effet on devine pourquoi les marocains ne se lamentent pas sur
cette période, ayant vu ce qui advenait de tous ces pays arabes, dont on observe actuellement les souffrances partagées. Mais, se désolent péniblement visages
marbrés de larmes au fait d’évoquer les années de plomb destinées à écraser par
l’arbitraire ce que le Maroc avait de meilleur, en l’occurrence la crème de son
élite reconnue internationalement. Et dont les investigations de l’IER sous feu
Benzekri constituent une référence d’observance et vigilance sur l’évolution
démocratique du pays, loin de toute déconstruction d’espoir comme actuellement
sous des cieux pas lointains.
Oui, il est vrai que chemin faisant le
Maroc demeurait sans en parler des années durant, jusqu’à l’ouverture
inattendue du système par l’envoi de signaux fort déterminants, passant par la
libération des prisonniers politiques, le rasage de Tazmamart et l’entrée des
exilés, aboutissant de surcroît à l’alternance octroyée sous Youssefi. Puis le
nouveau règne s’installa suivant avec empressement à travers beaucoup de
chantiers, sa propre feuille de route innovante. Qui rendit au Maroc son précieux
prestige malgré la parenthèse du tout sécuritaire, mais arrivant à le mettre seul en
tant que locomotive arabo-africaine d’assainissement institutionnel. Malgré ce qu'en disent le groupuscule insignifiant des architectes filipendules du mensonge au parlement européen. En ce
sens, voilà une occasion pour nos diplomates du temps présent de mettre en
exergue dans les instances internationales cette touche marocaine novatrice,
pour effacer les clichés les ayant dans le passé montrés jouant seulement des
rôles de chefs d’escales dans les capitales et grandes villes consulaires.
De fait, malheureusement certains parmi
eux, rendant l’ascenseur d’utilité commune de consanguinité où de services
rendus pour nomination en chancellerie, ne s’employaient qu’aux réservations de
séjours et autres shoppings dont la RAM et autres titres de transport et fret
en avaient trop souffert. Et ce n’est nullement une médisance que d’évoquer ce
passé grotesque de ces quelques diplomates convertis en agents de voyage voire en
businessmans semi-attitrés, oubliant la tache noble de leurs vraies accréditations
à l’étranger. Dont les ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc en avaient
profité de l’absence de riposte diplomatique sur le terrain pour continuer à
lancer leurs fléchettes vénéneuses.
D’AILLEURS
POUR QUE LE MAROC SE METTE A L’ABRI DES IMPULSIONS SAUGRENUES DE SES ENVIEUX ET
HARCELEURS POUR NE PAS DIRE ENNEMIS, MOHAMED LOULICHKI EN A SU FAIRE ALLÈGREMENT BON USAGE DES LORS QU’IL A EXPOSÉ SA FEUILLE DE ROUTE SUR LES PRIORITÉS DU
SUIVI SUR LE TERRAIN DES POINTS CHAUDS AU CONSEIL DE SÉCURITÉ. CE A QUOI IL FUT NOMMÉ A LA TÊTE DE LA COMMISSION DU SUIVI DE CES FOYERS DE TERRORISME POUR UN AN.
Heureusement, vu que notre diplomatie
s’est réveillée de sa torpeur, ne se mettant plus à se tournoyer autour de ces
anciennes formes flasques. Mais imposant son tempo d’action diplomatique
déterminée d’abord par le rayonnement de Sa Majesté le Roi Mohamed VI à l’international,
puis grâce à une poignée d’hommes et de femmes intègres en poste aux Nations Unies
en concomitance du travail soutenu par un parterre d’apparatchiks rodés depuis
Nairobi aux coulisses des chancelleries, loin de toute extravagance où même haine
d’autrui concernant l’application d’instructions orales données ici et là.
Simplement se sentant avoir les épaules plus étoffées en ce temps présent de la présence d’un conseiller du Roi au diapason des films des évènements en plus de l’un d’eux plus averti en actualités politico-diplomatiques sur le tabouret trépied ministériel usant de son carnet d’adresses. Dont l’exégèse de refonte de son propre pacte de rester humble et ne pas faire la grosse tête, témoigne de sa facilité d’aborder les situations loin de toute idée politico-lectoraliste.
Bien évidement la personnalité particulière du titulaire en chef, ne doit aucunement souffrir d’indifférence même ayant cru à l’espoir de revigorer seul l’image diplomatique marocaine. Parce qu’en travaillant dans des conditions avantageuses sous la nouvelle constitution occupant une place très honorable, tous savent que le chef de l’Etat reste celui qui imprègne de ses hautes directives le chemin à suivre.
Simplement se sentant avoir les épaules plus étoffées en ce temps présent de la présence d’un conseiller du Roi au diapason des films des évènements en plus de l’un d’eux plus averti en actualités politico-diplomatiques sur le tabouret trépied ministériel usant de son carnet d’adresses. Dont l’exégèse de refonte de son propre pacte de rester humble et ne pas faire la grosse tête, témoigne de sa facilité d’aborder les situations loin de toute idée politico-lectoraliste.
Bien évidement la personnalité particulière du titulaire en chef, ne doit aucunement souffrir d’indifférence même ayant cru à l’espoir de revigorer seul l’image diplomatique marocaine. Parce qu’en travaillant dans des conditions avantageuses sous la nouvelle constitution occupant une place très honorable, tous savent que le chef de l’Etat reste celui qui imprègne de ses hautes directives le chemin à suivre.
L’image de la diplomatie marocaine
actuelle en pratique normative de sérieux et abnégation, ne devrait-elle pas se
juxtaposer dans l’esprit comme dans la forme à celle du Maroc sportif gagneur
du temps des athlètes Aouita Boutayeb Moutawakil Sakah Guerrouj Bidouane Gharib
et d’autres ? En tout cas, elle doit s’employer à ne plus se résigner où à
se laisser distancer, s’activant dans tous les niveaux. Surtout qu’elle montre
toujours une capacité d’analyse des données de déstabilisation par le
terrorisme, dans toute l’Afrique du Nord et subsaharienne, en l’occurrence au
Mali Sahel Congo démocratique et ailleurs. A cet égard, les services extérieurs
à l’instar de ceux de l’intérieur, s’y sont eux aussi engagés méthodiquement
pour disséquer le mode d’action de cette petite communauté d’apprentis
terroristes, d’où sortent des rumeurs sur les alliances et folles sous-traitances
dans les camps de la honte de Tindouf où ailleurs par le Polisario.
A ce titre, pourquoi les locataires et
leurs loueurs en sous-mains de ces camps en dehors de la volonté du peuple
algérien, parce qu’il s’agit certes de location vu le subside pécuniaire
soutiré de part et d’autre, continuent-ils à refuser l’offre marocaine dans le
cadre de la régionalisation avancée ? Alors qu’il y a là une belle
occasion de revenir à la normalité au Maghreb des peuples sages et
responsables, loin des attitudes narcissiques de ces profiteurs par le
détournement la coercition la contrainte et la servilité des séquestrés.
Parce que, ce n’est pas normal qu’ils soient attaqués en interne et de toutes parts dans les instances internationales, et continuent leurs sales trafics dont le revenant Christopher Ross en a finalement reconnu l’existence. Cette reconversion vers le traitement impartial de l’affaire du Sahara n’est pas due au hasard, mais suite à l’entretien téléphonique de Sa Majesté le Roi Mohamed VI avec Ban Ki Moon le secrétaire général de l’ONU. Ce qui a permis un rééquilibrage rapide sans surprise dans le dernier rapport de cet envoyé personnel onusien, dont tout le monde en a vu la teneur la méthodologie et les préconisations.
Parce que, ce n’est pas normal qu’ils soient attaqués en interne et de toutes parts dans les instances internationales, et continuent leurs sales trafics dont le revenant Christopher Ross en a finalement reconnu l’existence. Cette reconversion vers le traitement impartial de l’affaire du Sahara n’est pas due au hasard, mais suite à l’entretien téléphonique de Sa Majesté le Roi Mohamed VI avec Ban Ki Moon le secrétaire général de l’ONU. Ce qui a permis un rééquilibrage rapide sans surprise dans le dernier rapport de cet envoyé personnel onusien, dont tout le monde en a vu la teneur la méthodologie et les préconisations.
N’est-ce pas que le Maroc cherchant à éviter d’évoquer seulement le coté émotionnel de la crise syrienne, avait donné l’exemple par l’hôpital de campagne équipé au camp Zaatari en Jordanie, mettant en éclairage le sérieux made in Morocco dont tout le monde en parle surtout après la visite royale ? Ajouté à cela, l’engagement du Maroc du coté des africains empattés inconfortablement, par son interventionnisme humanitaire réhaussé et correct. En plus de ses initiatives satisfaisante en tant que président de la commission de suivi d’Al Qods pour atténuer leurs souffrances, notamment envers les gazaouis. Et aussi s’attelant en permanence à dénoncer les sauvageries de l’Etat hébreu, ses constructions outrancières de nouvelles colonies sans aucun respect pour la communauté internationale.
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En effet la question que tout le monde se pose, est-ce que les résistances à cette évolution sont-elles vraiment concevables, vu la nécessité de la diplomatie d’ accroître sa mobilité géostratégique en s’adaptant au monde nouveau ? Et ce, en travaillant sur le climat d’avenir et non sur le passé tenant compte des données démographiques.
Comprendra qui voudra qu’il s’agisse des pays BRIC Afrique du Sud et autres émergents ! En revanche, peut-on dire qu’actuellement le Maroc diplomatique est bel et bien entrain de marquer de son sceau son nouveau positionnement, ne se gargarisant plus de futilités sans valeur ajoutée ? A BON ENTENDEUR SALUT !
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