POURQUOI L’ALGÉRIE OFFICIELLE EST-ELLE TOUJOURS DANS
LA RUPTURE EN DOUBLE AVEUGLE CONTRE LE MAROC ?
Rien ne va plus
entre les officiels du renseignement marocain et les caciques enragés et
rouillés du DRS algérien. Tellement qu’il est difficile à tout marocain qui se
respecte, de ne pas se motiver face à la donne politique incertaine algérienne, sur fond de terrorisme islamiste menaçant. Dont le vendredi noir du 26 Juin
2015 en Tunisie France Koweït et Somalie, en est la preuve dans cet environnement
malsain, particulièrement au grand Maghreb. Ce qui n’incite plus à rester les
bras croisés en le voyant se déliter de plus en plus, alors que le fossé de non
collaboration continue de s’élargir entre les services de renseignements
marocains et algériens.
A cet effet, pourquoi
le Maroc de la croissance, novateur et performant, est-il dans le collimateur de
l’Algérie au retour manqué sur la scène internationale ? S'ajoutant à sa gestion politique chaotique constituant un pas dans la dégradation des rapports entre Rabat
et Alger, dont on pensait avoir tout vu tout lu et tout entendu. Car comme le
démontre le site Wikileaks d’Assange brossant un tableau des plus déconcertants
laissant tout le monde coi, à propos d'une rude et probable altercation en
perspective entre le Maroc et l’Algérie. Dont, apparemment, l’ordre du jour ne
serait que le droit de poursuite légitime du Maroc, pour la maintenance de son
Sahara dans la régionalisation avancée. Contre la notion d’ingérence de l’Algérie
dans ce conflit préfabriqué par ses soins, ayant mis le feu dans tout l’espace
Maghreb provoquant aujourd'hui divers échanges d’inimitiés de notoriétés internationales.
En réalité, l’œil
extérieur de wikileaks ne commence-t-il déjà à transformer les relations de tous
les pays entre eux, surtout avec les USA à propos de ses milliers de câbles
diplomatiques échangés ? D'ailleurs de ce point de vue, en scrutant les quelques exploitations-synthèses
déjà livrées touchant de près ou de loin l’affaire du Sahara marocain, on en
déduit que l’Algérie officielle hargneuse et rancunière n’obtempérerait jamais.
Et pour cause, les interrogations échangées dans des câbles diplomatiques de
pays comme l’Arabie Saoudite révélant ce dilemme algérien, par ailleurs longtemps
connu des marocains. S’additionnant bien sur à ceux rageurs échangés par les diplomates
algériens eux-mêmes, chaque fois qu’ils en croient avoir l’opportunité pour
faire du mal au voisin de l’Est en l’occurrence le Maroc. Allant du dénigrement
mesquin, voire maladroit, du modèle politique marocain jusqu’aux critiques infondées
de sa production immatérielle cultuelle singulière dont tout le monde en parle.
Tellement qu’ils y voient même, invraisemblablement, leur soi-disant salut-intérêt
de continuer d’exister et d’en faire leur cabale politique sans merci contre le
Maroc. Oubliant que ce dernier avec son calme sa sérénité et maîtrise, et c’est le moins
que l’on puisse dire, montre qu’il est toujours préparé à contrer ces vagues de
dénigrement. Usant seulement de ses propres moyens de riposte foudroyante et
passe d’armes diplomatique virulente à l’ONU et partout ailleurs, envers
l’Algérie et ses rares manutentionnaires pro-polisariens restants.
Mais là ou
l’arrogance du pouvoir algérien frise le ridicule, c’est lorsqu’il s’attaque à
la réalité des échanges de co-localité-partenariat économique gagnant-gagnant que le Maroc a contracté avec les pays africains l’Espagne la France (cas de
Peugeot-Citroën) et autres. Ne sachant qu’avec le temps, cette Algérie désœuvrée en a
oublié de s’élever au rang de pays digne responsable probe et respectable. Car
n’arrivant de s’évader du climat réactionnel cherchant par folie à provoquer
zizanie, suite à quoi par sa paraisse notifiée et son déclin passif flagrant,
elle en paye aujourd’hui les frais et de quelle manière. S’étant notoirement, conséquemment, fait larguer par le Maroc, et ce dans tous les domaines socio-économique
financier culturel cultuel sécuritaire et politique. Vraiment, honte à ce
pouvoir diffuseur de mensonges, au lieu de se tenir à l’écart et/où caché, il continue de solliciter
certains directeurs de publication encore à sa botte, de bien vouloir taper sur
le Maroc même en double aveugle. Alors de grâce, que Bouteflika pour une fois
se ressaisisse et se retienne, parce que sinon sa mémoire risquerait de disparaître dans l’embrouillamini déjà en place pour sa succession.
Pourtant à
travers ce dilemme, on ne peut pas ne pas dire que le Maroc ne réitère à chaque
occasion son approche d’offre d’optimisation de ses relations avec l’Algérie. En
s’appuyant sur ses principes fondamentaux inaliénables et en anticipant sur les
lectures de l’algorithme politique séquentiel des ennemis quels qu’ils soient, par la prévention la dynamisation de la politique étrangère et la protection
des sites et données stratégiques de toutes origines. Tout ceci bien sûr, dans le but de
la sauvegarde de l’intégrité territoriale, laquelle déjà bien profilée dans la
régionalisation avancée s’adaptant aux changements des données de cyber sécurisation. Puis l’optimisation
du projet de progrès en tenant compte à la fois de l’environnement de modernité
sans aventurisme, et aussi du souffle de l’authenticité sans dormir sur les
lauriers, vigilance oblige. Et enfin, la rationalisation par la recherche
d’équilibre institutionnel dans l’exercice de la démocratie évolutive
responsable, intégrant sans ambages la limitation des risques des dérapages par
le respect fondamental des droits humains.
C’est vrai, Wikileaks
se caractérise par ses publications, fruit des synthèses-investigations des câbles
informatifs de grande sensibilité, notamment par la NSA américaine dans le
segment du marché du renseignement. Dont la vielle Europe en voit aujourd’hui son
fil d’actualité se dérouler sous-forme de festival d’informations que l’on
pourrait intituler ‘’Parfum d’écoutes’’, lequel parrainé par Big Brother en
l’occurrence les USA. Aussi, au-delà du style et la méthode, ce qui importe
c’est le foisonnement la teneur la puissance et la diversification des
informations livrées avec minutie sur l’Algérie agonisante. De sorte, pour
lever la grande confusion sur les enjeux futurs en Afrique, le Maroc parait à
travers ce décryptage mieux armé structurellement, eu égard à la manière de son
implication humble dans l’aide aux pays africains pauvres et dans l’offre de
son expertise multiple reconnue. Et, aussi géo-politiquement prenant solidement pied en Afrique en tant que futur émergeant à coté de la Chine la Turquie et l’Inde.
Qu’en plus il est dorloté sinon dragué par l’Europe les USA et la Russie, en
tant qu’hub d’activité d’entrée au marché africain. Contrairement à la
fantaisie algérienne fictionnelle, composée d’une volonté de déconstruction de
l’avenir de l’Afrique, parce que se basant sur les folies des fabulateurs et
autres usurpateurs.
Néanmoins,
est-ce que le désenchantement actuel algérien par la rupture ne devient-il le
signal du temps de ses coquilles diplomatiques vides ? Visant à
cacher voire à masquer les dérives délictueuses au sein des camps de Tindouf et
ailleurs, et ce, entre manipulation des traîtres loueurs de leurs âmes et fraîcheur émotionnelle des néophytes. Aussi, force est de constater que le temps du baume parfumé des subsides
gaziers et pétroliers dont l’Algérie se targuait, est fini. D’ailleurs ne
commence-t-il à se gélifier voire se rétrécir dangereusement, la ramenant à sa
vraie proportion dans l’échelle des cotations onusiennes ? Au point qu’elle
ne peut plus s’ériger comme il n’y a pas longtemps en faiseuse des décideurs
politiques africains, en leur racontant des bobards à propos du Maroc. À même
de se permettre d’oser en termes à peine voilés de les malmener et menacer, comme ce
qu’elle a fait dernièrement dans le cas de la Mauritanie, sous prétexte qu’elle
détient des secrets pouvant la faire basculer dans le mal-être institutionnel. Ce
faisant, pourquoi ce pouvoir algérien ne sait-il pas encore que la demi-vie du
renseignement ciblé s’il n’est pas exploité à temps, elle se raccourcit de plus en
plus ne servant qu’à faire perdurer les tensions et glaciations inutilement ?
En résumé ce
qu’il faut savoir, le Maroc n’est plus inquiet n’ayant de mal à démentir par
des faits et actes avérés, les allégations colportées ici et là sur sa culture des
droits de l’homme et aussi à faire valoir la résonance de ses atouts et réussites. Qu’au
demeurant, il est en droit de s’interroger sur l’absence de l’Etat de droit en
Algérie des détournements confirmés, s’obstinant toujours à ne pas aborder les vrais problèmes du grand
Maghreb. A ce propos, dans ces conditions, n'est-ce pas d'emblée les marocains s’inquiètent pour les
algériens qui se voient malheureusement déjà en commencement de transbordement
dans le marasme de l’insécurité doublée de l’insolence des privilégiés des
cercles du pouvoir ? A bon suiveur bonne lecture !