mardi 17 septembre 2013

MAIS POURQUOI L’ALGÉRIE CONTINUE-T-ELLE A VOLER LES IDÉES DE SON VOISIN DE L’OUEST SANS LE REMERCIER NI LE GRATIFIER MÊME DU SOURIRE ?

N’est-ce pas qu’en politique internationale chez les chefs d’Etats responsables n’usant aucunement de surenchère à l’emporte pièces, les pensées et idées fortes ne sont que l’émanation de leur structuralisme d’historicité cumulative vécue ? Par conséquent la médiocrité de la délation entre accolades et sourires n'est pas leur terrain de prédilection. De sorte, automatiquement, elle n'a plus sa place dans la formation du Maghreb toujours en attente de sa résurrection.

Sachant que dans l’échelle des appréciations des valeurs au sein des institutions internationales, elles sont aussi soupesées et conjuguées de fait à la charge consciente à terme. Surtout en usant de modalités de la mise en oeuvre de la duplicité de l'action en interne et en externe, de la part de ces mêmes chefs vers l’utilisation intégrale des potentialités pour une gouvernance de règlement des conflits et relèvement des défis.

A ce titre, n’est-ce pas ce que l’on vit presque en direct au Maroc avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI, concrétisant l’évolution du militantisme patriotique sous des formes nouvelles multidimensionnelles et multidirectionnelles dans l’air du temps ? A même de se distinguer par sa vision avant-gardiste et ses efforts humanitaires conséquents par des initiatives solidaires ici et là, comme à Zaatari Gaza Brazaville Dakar et aujourd'hui Bamako.  

Le Maroc comptant sur ses potentialités faisant face à son destin !

       Cette pratique commencée dès l’avènement du nouveau règne, n’a-t-elle pas donné une nouvelle image du pays à l’international bien au diapason du fil des changements en cours ? S’en trouvant, s’autorisant de se donner à lui-même et/où à d’autres sans complexe de supériorité, des leçons d’humilité en dépassant les blocages subsistants. Lesquels n’ayant besoin que de bonne gouvernance gouvernementale dans des conditions politiques partisanes stables pour se dissiper. Ce que notamment, les observateurs avertis aujourd’hui en demandent au gouvernement marocain futur, de réduire les immobilismes façon Exécutif Benkirane I, en le poussant à s’embarquer dans le chantier des réformes par un volume croissant d’initiatives salutaires quelque en soit l’émetteur. A l’exemple des recommandations du CCSE-E dans le cadre de la régionalisation avancée dans le Sahara marocain pour plus de production de richesses locales, loin de l’esprit de rente d’avant. S’ajoutant aux autres réformes toujours en suspens comme ce qu’en préconisent la Cour des Comptes Bank Al Maghrib et le HCP.

       En l’occurrence, un dynamisme tous azimuts de tout essayer, pour l’édification du nouveau Maroc dans le respect de la constitution. Tant la confiance est grande et n’est nullement timorée, surtout ne donnant pas une marge d’insécurité comme sous des cieux pas lointains dont le solde différentiel de sérénité étatique est trop négatif. Que les receleurs désinformateurs à la botte des ennemis du pays tentent d’en masquer les relents et les effets, n’en ratant aucune occasion pour s’y engouffrer sciemment. S’aidant de montages suspects sur la toile pour procéder aux essais de dénigrement du Maroc, dont ils croient pouvoir dévaloriser la marche du Roi surtout en Afrique. Quel strabisme politique de leur part ! N'est-ce pas que cette même Afrique s’est déjà autonomisée du joug de l’Algérie des généraux nababs qui s’en trouvent de fait ensabler avec le Polisario dans des turpitudes et déconcertements désolants. Et ce n'est pas un remaniement ministériel algérien à connotation va-t-on guerre contre les initiatives diplomatiques royales, qui empêcherait le Maroc de continuer son offensive raisonnée et réfléchie. Même si, maintenant les feux de position du gouvernement Benkirane I sont disposés à contre sens, et qu'il est urgent d'accompagner les remaniements que connait la région. Par des changements des titulaires de certains postes ministériels parce qu'incompétents, et surtout pour dépasser les réflexes d'entrainement par l'habitude ainsi instaurée pour les autres.

       Néanmoins, rien que pour mettre tout le monde davantage au parfum de la détermination sans faille du Maroc, face à ceux-là mêmes, s’essayant en subliminaire jusqu’à frôler l’apologie du terrorisme d’Al Qaida où autre. N’en déplaise à eux, le Maroc n’en serait jamais déstabilisé par cette fréquence accélérée des fluctuations dans la délation et menaces irraisonnées sur sa sécurité. Ainsi donc, un immense effort est demandé au prochain gouvernement d’absoudre les différends politiciens ne menant nulle part en l’occurrence. Particulièrement, vis-à-vis des partis politiques, syndicats, corps socioprofessionnels, intellectuels, journalistes, Oulémas et forces vives de la société civile pour le renversement de cette tendance. Parce qu’une telle attitude responsable, modifierait considérablement la physionomie de leurs rapports voire même la typologie réactionnelle à son vis-à-vis. Et surtout pour qu’ensuite toutes les instances constitutionnelles de l’Etat que nous envient certains pays dont l’Algérie n’en pouvant faire de même, puissent continuer à remplir leurs rôles respectifs en tant que raccommodeurs des détails de gouvernance et aussi des contributions de l’opposition institutionnelle. Et pourquoi pas offrir des solutions substantielles dépassant les interventions démodées sur la protection de l’économie le social le culturel et surtout le politique. En ce sens, c’est là un capital purement moral à exploiter, étant compris dans les interstices de l’esprit de la nouvelle constitution du 01 Juillet 2011.

       Ce faisant, même si, parfois, on voit les visages des membres décideurs de ces institutions dissimulant une revanche sur l’histoire, on en comprend avec où sans relativisme dans l’appréciation leur recherche des formules souples et attractives. De surcroît d’anticipation sur les dérives de mauvaises gouvernance, pour une meilleure adaptation aux défis mondialisés. Parce que, souvent traitant certains sujets sensibles selon différents volets n’étant à la portée pour tout un chacun. Notamment de part leur complexité  et temporalité touchant au conservatisme des mentalités et autre non renouvellement des formalités administratives. Mais alors, pourquoi en Algérie bouteflikaéenne ce n’est pas encore le moment d’en gratifier ces émetteurs, dont les travaux sont à l’unanimité reconnus dans les instances internationales ? Est-ce, par peur de montrer à leur endroit cette reconnaissance implicite à ce propos, comme ce qu’ont fait l’ONU, l’UE, le HCR, l’UNESCO, l’UA et les USA par suite à la publication du dernier rapport du CNDH sur les droits des migrants en terres marocaines ? Où seulement, par voie de conséquence de peur de s’en trouver devant le dilemme de faire pareillement, vu que c’est devenu le pivot voire une grille fixant la notoriété des pays en voie de développement lors des ventes de leurs modes de gouvernance à l’international. Dont le gouvernement Sellal I en pleine absence du président Bouteflika pour raison de maladie, s'en est essayé à copier Sa Majesté dans ses déplacements mais sans résultat apparent. Au contraire ça n'a fait qu'attiser les relents de discorde et d'appels aux manifestations contre l'Etat algérien apathique nonchalant et même désinvolte à l'égard du peuple. Parce que continuant à dilapider des sommes colossales pour entretenir le chimérique Polisarioo à ses dépens.

       A cet effet, heureusement que les masses médias à l’étranger, les réseaux sociaux, les blogs et d’autres supports sont bien approvisionnés en inspirations de gratifications du Maroc, pour le travail sérieux et pertinent accompli par ses institutions constitutionnelles indépendantes. Même si, on y est obligé d’en adjoindre à ce structuralisme sous toutes ses formes, un nombre de cris d’avertissements et d’appels pour dénoncer politiquement les quelques nonchalances où relâchement dans les actes dans certaines structures de l’Etat. Aussi, ne faudrait-il pour les services de vigilance gagner du temps en se concentrant sur les détails sans hésitation ni retenue en évitant d’être incompréhensibles, dès lors que les prémices de surenchère par le pouvoir algériens sont moins en raison politicienne que de leadership. Surtout qu’en positionnement géopolitique du Maroc par l’aura du Roi Mohamed VI, on assiste à une longueur d’avance contrecarrant l’agitation boutaflifaéenne en ce temps présent. Lequel, voulant copier le modèle marocain sans en avoir les moyens structurels de le faire dans le respect de la constitution, en plus de la perte de confiance indicatrice des divergences de points de vues entre les fractions politiques algériennes sur bon nombre de sujets.

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