N’est-ce
pas qu’en politique internationale chez les chefs d’Etats responsables n’usant
aucunement de surenchère à l’emporte pièces, les pensées et idées fortes ne sont
que l’émanation de leur structuralisme d’historicité cumulative vécue ? Par conséquent la médiocrité de la délation entre accolades et sourires n'est pas leur terrain de prédilection. De sorte, automatiquement, elle n'a plus sa place dans la formation du Maghreb toujours en attente de sa résurrection.
Sachant
que dans l’échelle des appréciations des valeurs au sein des institutions
internationales, elles sont aussi soupesées et conjuguées de fait à la charge
consciente à terme. Surtout en usant de modalités de la mise en oeuvre de la duplicité de l'action en interne et en externe, de la part de ces mêmes chefs vers l’utilisation intégrale des
potentialités pour une gouvernance de règlement des conflits et relèvement des défis.
A
ce titre, n’est-ce pas ce que l’on vit presque en direct au Maroc avec Sa
Majesté le Roi Mohamed VI, concrétisant l’évolution du militantisme patriotique
sous des formes nouvelles multidimensionnelles et multidirectionnelles dans l’air du temps ? A même de se distinguer par sa vision avant-gardiste et ses efforts humanitaires conséquents par des initiatives solidaires ici et là, comme à Zaatari Gaza Brazaville Dakar et aujourd'hui Bamako.
Le Maroc comptant sur ses potentialités faisant face à son destin !
Cette
pratique commencée dès l’avènement du nouveau règne, n’a-t-elle pas donné une
nouvelle image du pays à l’international bien au diapason du fil des
changements en cours ? S’en trouvant, s’autorisant de se donner à lui-même
et/où à d’autres sans complexe de supériorité, des leçons d’humilité en
dépassant les blocages subsistants. Lesquels n’ayant besoin que de bonne
gouvernance gouvernementale dans des conditions politiques partisanes stables
pour se dissiper. Ce que notamment, les observateurs avertis aujourd’hui en
demandent au gouvernement marocain futur, de réduire les immobilismes façon Exécutif
Benkirane I, en le poussant à s’embarquer dans le chantier des réformes par un
volume croissant d’initiatives salutaires quelque en soit l’émetteur. A
l’exemple des recommandations du CCSE-E dans le cadre de la régionalisation
avancée dans le Sahara marocain pour plus de production de richesses locales,
loin de l’esprit de rente d’avant. S’ajoutant aux autres réformes toujours en
suspens comme ce qu’en préconisent la Cour des Comptes Bank Al Maghrib et le
HCP.
En l’occurrence, un dynamisme tous azimuts de tout essayer, pour l’édification du nouveau Maroc dans le respect de
la constitution. Tant la confiance est grande et n’est nullement timorée,
surtout ne donnant pas une marge d’insécurité comme sous des cieux pas
lointains dont le solde différentiel de sérénité étatique est trop négatif. Que
les receleurs désinformateurs à la botte des ennemis du pays tentent d’en
masquer les relents et les effets, n’en ratant aucune occasion pour s’y
engouffrer sciemment. S’aidant de montages suspects sur la toile pour procéder
aux essais de dénigrement du Maroc, dont ils croient pouvoir dévaloriser la marche du
Roi surtout en Afrique. Quel strabisme politique de leur part ! N'est-ce pas que cette même Afrique s’est déjà autonomisée du joug de
l’Algérie des généraux nababs qui s’en trouvent de fait ensabler avec le Polisario
dans des turpitudes et déconcertements désolants. Et ce n'est pas un remaniement ministériel algérien à connotation va-t-on guerre contre les initiatives diplomatiques royales, qui empêcherait le Maroc de continuer son offensive raisonnée et réfléchie. Même si, maintenant les feux de position du gouvernement Benkirane I sont disposés à contre sens, et qu'il est urgent d'accompagner les remaniements que connait la région. Par des changements des titulaires de certains postes ministériels parce qu'incompétents, et surtout pour dépasser les réflexes d'entrainement par l'habitude ainsi instaurée pour les autres.
Néanmoins, rien que pour mettre tout le monde davantage au parfum de la détermination sans faille du Maroc, face à ceux-là
mêmes, s’essayant en subliminaire jusqu’à frôler l’apologie du terrorisme d’Al
Qaida où autre. N’en déplaise à eux, le Maroc n’en serait jamais déstabilisé
par cette fréquence accélérée des fluctuations dans la délation et menaces
irraisonnées sur sa sécurité. Ainsi donc, un immense effort est demandé au prochain
gouvernement d’absoudre les différends politiciens ne menant nulle part en
l’occurrence. Particulièrement, vis-à-vis des partis politiques, syndicats,
corps socioprofessionnels, intellectuels, journalistes, Oulémas et forces vives
de la société civile pour le renversement de cette tendance. Parce qu’une telle
attitude responsable, modifierait considérablement la physionomie de leurs
rapports voire même la typologie réactionnelle à son vis-à-vis. Et surtout pour
qu’ensuite toutes les instances constitutionnelles de l’Etat que nous envient
certains pays dont l’Algérie n’en pouvant faire de même, puissent continuer à
remplir leurs rôles respectifs en tant que raccommodeurs des détails de
gouvernance et aussi des contributions de l’opposition institutionnelle. Et
pourquoi pas offrir des solutions substantielles dépassant les
interventions démodées sur la protection de l’économie le social le culturel et
surtout le politique. En ce sens, c’est là un capital purement moral à
exploiter, étant compris dans les interstices de l’esprit de la nouvelle
constitution du 01 Juillet 2011.
Ce faisant, même si, parfois, on voit
les visages des membres décideurs de ces institutions dissimulant une revanche
sur l’histoire, on en comprend avec où sans relativisme dans l’appréciation
leur recherche des formules souples et attractives. De surcroît d’anticipation
sur les dérives de mauvaises gouvernance, pour une meilleure adaptation aux
défis mondialisés. Parce que, souvent traitant certains sujets sensibles selon
différents volets n’étant à la portée pour tout un chacun. Notamment de part
leur complexité et temporalité touchant
au conservatisme des mentalités et autre non renouvellement des formalités
administratives. Mais alors, pourquoi en Algérie bouteflikaéenne ce n’est pas encore
le moment d’en gratifier ces émetteurs, dont les travaux sont à l’unanimité
reconnus dans les instances internationales ? Est-ce, par peur de montrer
à leur endroit cette reconnaissance implicite à ce propos, comme ce qu’ont fait
l’ONU, l’UE, le HCR, l’UNESCO, l’UA et les USA par suite à la publication du
dernier rapport du CNDH sur les droits des migrants en terres marocaines ?
Où seulement, par voie de conséquence de peur de s’en trouver devant le dilemme
de faire pareillement, vu que c’est devenu le pivot voire une grille fixant la
notoriété des pays en voie de développement lors des ventes de leurs modes de
gouvernance à l’international. Dont le gouvernement Sellal I en pleine absence du président Bouteflika pour raison de maladie, s'en est essayé à copier Sa Majesté dans ses déplacements mais sans résultat apparent. Au contraire ça n'a fait qu'attiser les relents de discorde et d'appels aux manifestations contre l'Etat algérien apathique nonchalant et même désinvolte à l'égard du peuple. Parce que continuant à dilapider des sommes colossales pour entretenir le chimérique Polisarioo à ses dépens.
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