BENKIRANE I NE DIRA JAMAIS POURQUOI ET COMMENT IL S’ESSAYE A PROFIL BAS D'EUTHANASIER BENKIRANE II !
Justement, quand on lit entre les lignes
du déroulé du fil d’actualités, on ne peut s’empêcher de penser en ce qui
concerne la formation du futur gouvernement, que des politiques maîtres
penseurs, leurs sbires compagnons et/où leurs suiveurs apprentis, n’en veulent
plus des islamistes. De fait ils se sont regroupés dans leurs processions
partisanes distinctes n’officialisant tantôt en subliminaire tantôt en clair, que
leurs messages communs de résistance jusqu’au boutisme à ne pas sauver Benkirane
le vaniteux.
A cet effet on peut énumérer diverses
raisons à ça, lesquelles touchant principalement aux incorporations dirigistes
rigides de Benkirane en personne. En plus de celles renfermant des
interdépendances d’ordre religieux visant des objectifs politico-électoralistes
de la part des PJDistes. Cette sorte de planning de contrôle du rythme à
connotations emphatiques de diversion en se comportant comme des Fqihs zélés,
pour prêter confusion dans les évaluations de l’action de l’Exécutif. Sauf que
l’opposition surtout institutionnelle ne l’entend pas de cette oreille, elle
fait son travail n’étant pas liée par le compagnonnage auquel aspire Benkirane.
Au contraire ses composantes font front commun, et ne cautionnent aucunement sa
conduite des affaires de l’Etat, qu’au demeurant laisse à désirer. Dont même le
PPS le coalisé longtemps encaisseur des dépassements s’en offense n’acceptant
plus de se taire surtout après la non Mkayssa vis-à-vis des démunis.
Il est vrai que la disparition de
l’espoir chez Benkirane de ne pouvoir avoir une autre coalition à sa botte, n’a
fait qu’entraîner anarchie dans son monde de rêve intime attendant Godeau qui
n’arrive point. Allant parfois à contrario des attentes légitimes du petit
peuple l’ayant conduit honorablement à l’Exécutif, jusqu’à en bafouer les
intérêts. A même de donner l’impression, ne s’empêchant par des initiatives
euthanasistes du pouvoir d’achat de vouloir mettre le pays en excitation
dangereuse dans sa cohésion sociale et sociétale. N’est-ce pas ainsi et à
maintes reprises sa méthodologie d’exciter les gens, comme ce qu’il a fait en signant
le décret de mise en œuvre de l’indexation des prix de l’essence gasoil et
autre en catimini? Dont Najib Boulif l’approximatif dans ses sorties
explicatives ne maîtrisant même pas la rationalité de l’exécution de
l’organisation, l’en a impliqué jusqu’au cou. Car, touchant les intérêts des
professionnels du transport et par ricochet provoquant les augmentations des
denrées premières que Mustapha Lkhalfi s’essaye de minimiser sans y arriver.
N’en oublions pas le coup d’assommoir du
HCP, peignant un tableau d’une noirceur sans équivalent à propos du commerce
intérieur vu la chute du pouvoir d’achat par suite à la non maîtrise de
l’indexation, du creusement alarmant du déficit de la balance commerciale
extérieure et diminution de l’investissement étranger, de l’augmentation du
chômage et de l’absence de liquidité dont Bank Al Maghreb n’en arrête de
renflouer à répétition. D’autant plus, en pleine de cette tourmente traversant
dans sa voiture luxueuse de service le regroupement revendicatif des diplômés
chômeurs, les narguant, tout simplement pour passer en victime de leur brouhaha
devant le parlement. N’est-ce pas que c’est déroutant cette façon de faire du
cinéma de mauvais goût ? En se montrant entouré et décrié à même de subir
leur ire, que lui et ses sbires, qualifient d’injuste et irresponsable, rien que pour
qu’il soit délivré par les forces de l’ordre par l’usage encore de la
bastonnade non justifiée.
Le pauvre Benkirane ne sait à quel saint
se vouer, ça tombe sur lui de tous les cotés telle la loi des séries limitant
impérativement son rayon d’action. Surtout à cadence relevée depuis sa
déconfiture lors de la visite d’Ardogan jusqu’à la garde à vue prolongée d’Ali
Anouzla. D’autant plus la vitesse de changement des données sociales
économiques et politiques, ne lui facilite aucunement la tache se trouvant
dépassé par les événements en faisant du sur place. Parce que voilà, peut être sa
délivrance du costume de l’Exécutif trop large pour lui arrive à point nommé. Notamment
en voyant en direct depuis Bamako qu’il ne pourra jamais avoir l’émulation de
Sa Majesté le Roi. Alors qu’auparavant un certain 25 Novembre 2011, il en a
montré quelques appointements et relents à même de demander seulement six mois
de pouvoir pour sortir le pays de la pauvreté et le mettre en croissance
soutenue.
Et oui la cérémonie d’investiture du
nouveau président malien IBK (Ibrahim Boubaker Keita) a prouvé au monde entier, la place très hautement
significative de Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans le concert des chefs d’Etats.
Parce qu’il est visionnaire humaniste et respectueux des droits de l’homme,
dont le discours fut fortement à références historiques culturelles et
cultuelles caractérisant la volonté politique du Maroc d’aller toujours de
l’avant du coté des pays africains amis, quoique puissent dire les jaloux et
autres porteurs menteurs et monteurs de fausses légendes. Aussi l’une des
grandes attentions que porte le Maroc à ses amis du Sud en particulier le Mali, c’est de travailler
ensemble en partenariat socio-économique gagnant-gagnant, en plus de son bon vouloir
de mettre son expertise à leur service dans tous les domaines.