mercredi 11 avril 2018

UNE INTERVIEW, UN CRASH D'AVION ET DES MENSONGES D’ÉTAT AVÉRÉS A LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE.

POURQUOI DANS LA COHUE DU MOMENT, MESSAHEL A-T-IL TENTÉ LA DOUCEUR A LA GANDHI LORS DE SON INTERVIEW SUR FRANCE 24 ?

       De tous les temps l'Algérie a suivi et protégé le Polisario en affectant soi-disant l'indifférence au différend qui l'oppose au Maroc sur son Sahara. Alors, même si, cela a brisé son rêve elle est toujours en posture de dire que le futur importe peu, bien que ça ne trompe personne. Car, au fond d'elle, Tindouf est le refuge à cet avorton surtout avec les temps qui changeront après le crash de l'avion militaire à Boufakir près de Bleida comptant plus de 257 morts dont des polisariens attitrés. Un mensonge d’État, dont, désormais le monde entier en voit en cette clientèle de touristes, les acheteurs de la spécialité de l'Armée algérienne, celle des provocations par escarmouches ici et là en Zone Tampon. C'est vrai, il s'agit d'une catastrophe pour cette grosse entreprise de Gaid Salah, que l'on pourrait dorénavant appeler le ''destin des malfaisants'', peut-être injuste du point de vue humanisme mais c'est comme ça la vie. Parce que, soudain, tout un chacun reconnait le tracé des cercles algériens autour de la détermination du Maroc à en finir avec le Polisario, ses mercenaires et les unités algériennes faisant les conseillers en pétaradant. Ce qui, d'emblée fait penser à l'histoire des caciques du pouvoir qui ne sont plus aux affaires, ne voulant plus brandir de menace envers leur voisin de l'Ouest à la fois par la grisaille du destin de leur pays et par des pétards mouillés. D'ailleurs, si l'on prend la peine d'étudier le passé de tous ces déclassés de la politique du pouvoir Boutaflika, on trouverait bien le moment où ils furent, eux aussi, des zélés envers le Maroc. Sauf que, depuis, ils sont passés par les tests de désensibilisation pour s'en apercevoir de leur erreur. Même le tristounet Ibrahimi, dans ses rares moments d'effusion, ne s'enorgueille plus de la particularité du passé de son pays. Dont, aussi, il faut le mentionner l'intelligentsia est persuadée que l'Algérie est gouvernée par une bande la faisant courir vers la catastrophe, tellement, après plus de 43 ans d'aveuglement, elle se dit : ''Comment cela lui est-elle arrivée à elle aussi'' ?

       Après tout, en ce temps de menace de conflagration en Syrie et dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine qui plane, c'est de la grande perfidie de ce pouvoir qu'il est question. Dont, Antonio Guterres et le Conseil de Sécurité de l'ONU voient que chaque jour qui passe, il métamorphose la détermination du Maroc, et que l'interview de Messahel sur France 24 est perçue par les observateurs avertis, une série d'esquives répétées. Comme si, il y avait un fantôme caché sous la table qui lui faisait ''hou hou'' de rester vague et ne rien dire à propos des questions posées par un journaliste rodé à ce genre d’exercice. Pourquoi, dans son costume ayant l'air d'un communion, ne savait-il qu'il est tombé plus bas alors que le Maroc revendiquait son Sahara avant même l'existence de l'Algérie, et ce bien avant 1884 aux espagnols ? Un non sens de la vraie Histoire, surtout, quand il eut sa sortie de piste flagrante en comparant le soutien du Maroc à son pays pour accéder à l'indépendance, à celui de l'aide de ce pouvoir militariste sécuritaire à  une entité fantoche qu'il a crée de toutes pièces. Cependant, aujourd'hui, est-ce que l'Algérie ne verse-t-elle des larmes intérieures après ce crash de son avion militaire, en souvenir du grand rêve maghrébin qu'elle a tout fait pour casser ? D'ailleurs, n'est-elle, d'ores et déjà convaincue que cet espace ne lui offre plus de cachettes sures, pour continuer ses manœuvres sournoises à l'encontre du Maroc ? En plus, qu'on ne le veuille ou pas, on peut y voir le germe voire la racine de l'amertume de l'isolement qu'elle vit, et d'où elle manifeste son énervement pathétique. Autrement dit, sans la poigne montrée du Maroc d'en découdre avec le Polisario, elle serait peut-être en position d'occuper la Zone Tampon via cet avorton sans même avoir de remords de l'avoir fait. De ce point de vue, il est maintenant permis en effet, de dire que la solitude qui lui est imposée par ses échecs diplomatiques jusqu'à en souffrir, est une explication trop simple. Néanmoins, il fallait bien des années de son humiliation pour effacer son orgueil et affaisser une fois pour toutes les montages de ses fiertés mal placées qui la faisaient, tout le temps, revenir à ses penchants innés. 

       D'ailleurs, de combien d'imperceptibles manœuvres par la Communauté Internationale, ces 43 ans ont-ils été faits ? Mais, comment peut-on mesurer ce constat d’échec de ce pouvoir militariste ? N'est-ce à l'idée même de cette entité qui s’amenuise d'année en année et des mensonges d’État qui l'accompagnaient qui s'altèrent peu à peu ? Car à l'ONU, c'est maintenant acté qu'à force de vociférer et gesticuler presque seule, elle s'est faite abimée à tous égards. On peut même dire, qu'elle ne peut imaginer ce qu'elle sera si guerre il y a contre le Polisario en Zone Tampon. En tous les cas, il y a déjà sa grande déception voyant sa vocation contrariée d'imposer le tempo au Maghreb, dont c'est sur, elle ne s'en remettra jamais. Malgré, ses écuries de diplomates manœuvriers se targuant encore de leur passe-droit d'antan, jusqu'à s'obstiner de ne pas reconnaitre le leadership du Maroc en Afrique. A savoir, l'on peut confirmer que le pouvoir algérien est si différent des voisins au Maghreb, paraissant à leurs yeux vieux jeu. Et; dont ils voient désormais que sa vie est rabattue parce qu'ils ne veulent plus qu'il se mêle de leurs affaires intérieures et extérieures. Se disant en ON, à qui veut les entendre, pour qui se prend ce Général Nabab en l'occurrence Gaid Salah ? N'est-ce, là l'expression narcissique de se sentir grand alors qu'il est petit devant les obstacles qui se dressent devant son Armée au G5 Sahel et aux frontières avec la Libye la Tunisie sans oublier le Maroc ? N'est-ce pas, ce genre d'évidence désagréable pour Messahel, qu'au Grand Maghreb on s'arrangeait pendant longtemps à ne pas voir, ne passe plus ? Notamment, en faisant semblant de continuer à croire aux raisons officielles de l'absence de l'Algérie dans le concert mondial. Voilà pourquoi Messahel dans son interview à France 24, a pris garde de ne pas effaroucher le Maroc contrairement à son habitude. Parce qu'il sait, même en se déguisant en colombe, comme ce qu'il a fait la nuit du bal masqué à Ksar Lamradia d'Alger, les FAR sont sorties de leurs gants et n'en veulent plus que l'Armée algérienne reste dans son bonheur vulgaire anti souveraineté du Maroc sur ses territoires de Tanger à Lagouira. A bon suiveur, salut !

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