vendredi 24 mars 2017

AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU, JAMAIS LA TRICHE NI LA MENACE TERRORISTE NE L'EMPORTERONT SUR L'OBLIGATION DE RECONNAISSANCE DU SAHARA MAROCAIN.

POUR LE MAROC, LA TENDANCE ACTUELLE AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU A RECONNAÎTRE SON AMBIVALENCE D'ALORS DANS L'AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN N'EST PAS UN AVEU DE FAIBLESSE, MAIS SEULEMENT UNE RÉVISION CONSCIENCIEUSE DES CERTITUDES-INCERTITUDES APPLIQUÉES EN PRÉJUGÉS SUR CRAINTES NON FONDÉES.

      S'il eut fallu 42 ans pour que l'ONU pense à fermer les arrières boutiques qui l’empêchent de faire le choix de l'avenir au Sahara marocain, ça n'en demanderait à présent qu'une bonne Résolution au Conseil de Sécurité en fin Avril 2017 pour s'orienter proposer et mettre en chantier l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie. D'autant plus, tout le monde sait que ce sera l'ouverture vers une exploitation sans culpabilité ni négligence à contribution du Droit et de la Légitimité pour la qualité du jugement de la vraie Histoire de l'Afrique du Nord. Dont, Antonio Gutterres en connait les bas-fonds des spéculations sur des projections farfelues du temps présent de la part des ennemis du Maroc. D'ailleurs de ce point de vue, de par la chronologie des événements pernicieux qu'ils n'ont jamais cessé d'y greffer presque à redondance depuis 1975, n'est-ce là où l'on voit que pour le pouvoir algérien c'est un conte d'incarnation de ses histoires dramatiques actuelles ? Tellement, pour cela aujourd'hui le Secrétaire Général de l'ONU, il ne doit plus regarder derrière dès lors que c'est le meilleur moment pour lui de faire renaître l'espoir du retour des séquestrés dans les camps de la honte vers la mère-patrie le Maroc. Et, donc d'éviter le continuum du jeu de déstabilisation qui, malheureusement si rien n'est fait, risque d'aller tout droit vers l'officialisation de la terreur du mercenariat du trafic et du terrorisme pléthorique dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. 

       Alors, s'il y a bien une proposition juste viable facilement réalisable c'est de dépasser la triche dans la future Résolution du mois d'Avril, en consacrant la solution politique d'offre marocaine d'autonomie 2007. Pouvant de surcroît jouer le rôle clé dans la transfiguration voire l'éloignement du rituel de l'endormissement qu'entretient l'Algérie dans ce dossier, sachant d'autant plus qu'elle le fait sur les traces de l'ambivalence dans les propos de l'ex Secrétaire Général Ban Ki Moon son envoyé spécieux et leurs soutiens à l'UA UE et ONU. Qu'au demeurant, ne se basant que sur le coté virtuel par la symbolisation chimérique ubuesque, sans tenir compte de celui référentiel dont les premières données remontent à l’Arrêt de la Cour Internationale de Justice de La Haye en Hollande 1975. Mais, la question qui taraude n'est-ce pourquoi osent-ils encore s’étendre dans des danses diplomatiques de l'Ego devenues inaudibles, alors qu'elles sont le précurseur de la dépression des services de renseignement algériens. De sorte, qu'à travers leurs déficiences et déconfitures, ils se voient exacerbés par une culpabilité latente de s’être laissés empêtrer contre le Maroc par un style d'où fourmille leur mauvaise volonté de prendre les aspects positifs du règlement définitif de ce dossier. En plus, sans pouvoir s'expliquer le manque de motivation du peuple algérien qui honorablement ne se sent aucunement concerné, à l'opposé des enragés masses médias à la botte de ces services à somme propagandiste nulle. Aussi, n'est-ce ainsi la preuve qu'au conseil de Sécurité de l'ONU jamais la triche via les circuits de dénaturation de l'Histoire ni la menace par la terreur ne l'emporteront sur l'obligation de reconnaissance du Sahara marocain ? C'est même là le risque principal d'une telle dérive de ne se mettre en accord avec la projection du Maroc tenant compte de l'économie de l'avenir et aussi de l'avancement de la construction de l'UA non ébranlée par les contraintes-mesquineries.

       Evidemment, en perspective de cet avenir commun rayonnant, ne faudrait-il savoir que la sagesse du Roi Mohamed VI sublimerait l'étendue de la capacité de coordination-intégration géopolitique des 03 régions (Dakhla-Laayoune-Guelmim) en direction de l'Afrique et apporterait sans aucun doute le coup fatal aux réticences du pouvoir Boutaflika vacillant ? Lequel, en l'occurrence toujours vivotant au gré d'invention de menace comme espérance d’accéder à l'Atlantique, en se fondant sur la douleur de l'entrainement vers le pire via l'entreprise de la terreur de sa kyrielle de mercenaires barbouzes et apprentis-terroristes. Par ailleurs, n'est-ce à partir de cela, la propension de la pensée à travers les comportements de certains Généraux algériens dont ils s'en empreignent pour garder le Polisario en position belliqueuse à Guergarate, est handicapante pour eux avec le changement de la temporalité de l'action onusienne ? D'où transparaît la résilience d'un pays qui a traversé les ages, et que l'on appelle aujourd'hui à l'international ''Maroc-courage'' dans sa lutte acharnée contre le terrorisme, contrairement à l'Algérie dans le côtoiement de sa bérézina annoncée de par le commencement de controverses en interne sociétales socio-économiques politiques et sécuritaires. 

       Néanmoins, par une lecture sans partie-pris n'est-ce ce qui signifie qu'elle est sur la pente des déceptions pouvant aller jusqu'à son son démembrement et éclatement ? Car, ses Généraux nantis, n'ont veulent retenir de l'approche de l'Etat-Maroc que c'est une véritable leçon de sauvegarde de l'unité et unicité-intégrité territoriale marocaine, sans se mêler des affaires internes des autres pays puissent-ils limitrophes. Ce qu'effectivement montre qu'au sommet de leurs bêtises inhumaines, ils restent toujours dans le déni en décalage avec la réalité en essayant de perturber les signes annonciateurs de désordre et zizanie dans les rangs de leurs soutiens résiduels ici et là, surtout en cette période de reconversion positive du destin du dossier du Sahara marocain au Conseil de Sécurité de l'ONU. Dont on espère les facteurs déterminants de la future formation gouvernementale avec Saad-Eddine Othmani en tant que chef de l'Exécutif, mettront tous les partis politiques dans l’intégration des paliers de la souffrance de l'Algérie qui est aux abois. Non pour parader dans les institutions avec des pauses non objectives sur des rythmes de critiques décevants par rapport à la lancée démocratique, mais pour prendre leur responsabilité dans le suivi de la marche royale en Afrique au sein de la CEDEAO. En montrant que le Maroc ne peut être la cible voire l'otage des turpitudes de quiconque, parce qu'il n'a jamais été ni  isolé ni sorti des radars orientés sur les axes des pays qui comptent à l'international. A bon suiveur, bonne lecture !

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